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 Syl •• Les adieux les plus difficiles sont ceux qui n'ont jamais été dits ou qui n'ont jamais été expliqués

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MessageSujet: Syl •• Les adieux les plus difficiles sont ceux qui n'ont jamais été dits ou qui n'ont jamais été expliqués   Syl •• Les adieux les plus difficiles sont ceux qui n'ont jamais été dits ou qui n'ont jamais été expliqués EmptyJeu 29 Déc - 20:13

Syl Rosales
feat Jessica Alba ©️ tumblr.



◊ L'essentiel en quelques mots.

■ Nom : Rosales, est ton nom actuel. En même temps tu prétends être à moitié brésilienne alors qu'en fait t'es espagnol, d'où ton nom de base Santana. ■ Prénom : Aujourd'hui tu prétends t'appeler Syl, c'est ce qu'il y a marqué sur tous tes papiers, t'aime beaucoup. Ton prénom de naissance, c'est Artémis. Mais c'est devenu dangereux de l'utiliser. ■ Âge : 32 ans, c'est bien la seule chose que tu n'ai pas changé. ■ Lieu de Naissance : Sur ton faux acte de naissance il y a marqué Rio. En vrai tu es née à Barcelone. ■ Nationalité : Tu viens d'obtenir la nationalité canadienne en binôme avec la brésilienne que tu t'étais forgée auparavant. Donc brésilo-canadienne. Même si à la base tu es espagnole mais bon. ■ Occupation : Ex cambrioleuse de luxe chez les plus grands. Ex Architecte aussi. C'était ta couverture auparavant, tu l'a abandonnée pour autre chose. Aujourd'hui tu  es propriétaire un salon de thé/librairie/pâtisseries/confiseries, Le Hibou qui Lit.  ■ Statut Civil : Veuve, ça non plus tu l'a pas changé, tu as juste changé la mort en question. Célibataire du coup. Maman aussi. En gros ça donne Veuve-Maman Célibataire. Voilà. ■ Orientation Sexuelle : N'importe. Bisexuelle. Tu ne fais pas de différence entre les sexes.

◊ Les petits détails croustillants.

■ Les Anecdotes.

Tu n'a jamais connu ta mère, elle est décédée quelques mois après ta naissance. C'est ton père qui t'a élevée. Le meilleur père possible au monde. Ton héro. Ton papa quoi. Aimant, chaleureux, attentionné, drôle, protecteur. Le seul point qui aurait pu le descendre en flèche c'était son job. Cambrioleur. Mais pas un cambrioleur de base hein, un grand, le meilleur, un cambrioleur de luxe. Mais bon toi ça t'a freiné en rien, au contraire, il t'a tout appris. Tu savais crocheter une serrure avant même d'apprendre les divisions.

A six ans tu as commencé le judo et la natation. A dix la gymnastique. A douze les arts martiaux et l'équitation. A quinze la boxe. Ouais, t'es pas du genre nana, la danse classique, le patinage artistique tout ça c'est pas ton domaine. Toi t'aimes ce qui bouge, ce qui te permets de te défouler et accessoirement de t'aider dans ton "boulot". C'est pour ça que t'a accepté la gym en fait, c'est vraiment juste pour ça. T'es du genre sportive, hyper active, tu tiens pas en place, t'as besoin de bouger !

Tu allais à l'école au début, juste pour apprendre de nouveaux trucs intéressants genre, l'histoire et l'art pour repérer les trucs les plus chers, les langues pour parler plusieurs dialectes et te fonder dans le décor et le sport bien sûr. Ah si oui et les maths c'était plutôt pas mal. Surtout pour les comptes en fait.

Ton père t'a emmené à ton premier cambriolage pour tes seize ans. Ton premier vrai cambriolage en fait. Parce que tu l'a déjà aidé pour d'autres trucs, genre faire le guet et tout ça. Tu adores ces moments avec ton père. Adrénaline. Concentration. Complicité. Et paf ! le lendemain il t'emmenait à l'école comme tout père normal. Vous étiez une famille un peu dysfonctionnel mais qui fonctionnait plutôt bien. C'était toi et lui contre le reste du monde.

Quand t'as envie de te changer les idées sans faire de sport tu dessines. Tu adores ça, ça te permets de t'éclaircir les idées, de penser à autre chose. T'as jamais été normale, quand les autres ados sortaient et faisaient la fête, toi tu dessinais des plans et tu lisais des astuces d'espionnage. T'as jamais été normale, mais t'as toujours assumé.

Les années passant tu t'es spécialisée là dedans avec ton père. A 20 ans, tu commences des études d'architecte avec une spécialisation pour l'architecture d'intérieur, ce sera ta couverture. Il est facile pour un architecte renommé de pénétrer dans des beaux immeubles et appartements pour repérer les objets coûteux à voler. Vous faisiez une bonne équipe avec ton père.

A 25 ans, tu rencontres celui qui sera l'amour de ta vie. Mais tu ne le sais pas immédiatement. Au début il n'est qu'une couverture, un appât pour autre chose de plus gros. Mais ce qu'il y a avec les couvertures de ce genre, c'est qu'il faut s'impliquer pour que ça marche et que ça dure. Et que dans ces cas là, il n'est pas rare de s'y brûler les ailes à force de s'impliquer. Parce qu'aucun être humain ne peut rester insensible aussi longtemps. Et peu à peu tu finis par tomber amoureuse de ce médecin au grand coeur. Il s'appelait Matéo. Il était doux, aimant, chaleureux, drôle. Et il a fini par briser toutes les barrières pour atteindre ton coeur de glace. Ton père a voulu te retirer de là pour l'en empêcher mais bien trop tard et il a du plier devant l'évidence.

Matéo et toi, c'est devenu une histoire vraiment sérieuse. A 28 ans il te demandait en mariage et tu acceptais. A 29 ans vous étiez mariés. Mais il ignorait encore tout. Combien de fois n'as-tu pas voulu tout lui révéler, tout lui avouer. Ces inspirations que tu as prises, ces moments où tu as ouvert la bouche pour lui dire, ces situations propices que tu as toi même créées pour lui avouer avant de te dégonfler. Rien à faire. Tu n'y arrivais pas. Alors tu continuais de lui mentir, de faire ce que tu faisais avec ton père mais le coeur n'y était plus. Tu n'avais plus envie de faire ça. Juste l'envie d'être quelqu'un de normal pour une fois.

Ton père a eu du mal à encaisser. Sérieux il l'a super mal prit. Mais il a comprit. Lui aussi avait voulu arrêter quand il a rencontré ta mère. Il n'a juste pas pu. Il voulait vous offrir une vie magnifique. Résultat ta mère est morte et toi t'es devenue comme lui. Il veut que ta vie soit plus belle que la sienne. Il t'a laissée partir. Et a recruté quelqu'un d'autre pour "prendre ta place" même si personne ne peut vraiment l'occuper, cette place là.

La vie fut belle pendant quelques années. Vous ne pensiez pas encore aux enfants, vous étiez concentrés sur votre travail. Et puis soudain, trente ans, tu te sens pas en forme, alternant entre vomissement et perte de conscience, et ton mari te fais une prise de sang. Le verdict tombe rapidement : enceinte. Vous êtes heureux. C'est une nouvelle vie qui commence. Tout se présente bien. Et puis il y a eu ce coup de fil.

- Allô ? tu décroches. - Artémis. C'est papà, chica. Tu es heureuse. Ca fait longtemps que tu n'a pas eu ton père, parti on ne sait où avec sa nouvelle compagne. Tu voulais lui annoncer la bonne nouvelle. - Papà ! Como està ? tu t'enquiers de ton accent chantant. - J'ai besoin de toi, chica. Un dernier coup. Enorme. Et puis moi aussi je raccroche. Tu auras de quoi vivre tranquillement avec Matéo et je te jure que je ne viendrais plus jamais t'embêter. Tu hésites. Tu ne veux pas y aller. Tu jettes un coup d'oeil en arrière. Matéo est occupé à travailler sur un dossier quelconque. - Ok papà. Dernier coup. Où et quand ? Il te donne l'adresse. Tu raccroches, la gorge serrée. Que vas-tu dire à Matéo qui te surprotège depuis l'annonce de ta grossesse ? Tu l'embrasses. - C'était qui ? te demandes t-il. - Mon père. Il m'a demandé de nos nouvelles. Je lui ai dit que tout allait bien et que j'avais une nouvelle a lui annoncer. Je le verrais dans la semaine. Tu restes vague. Il arque un sourcil, surpris puis hoche la tête. Tu restes distante et l'esprit divaguant tout le reste de la journée, reconstruisant tes barrières, ton sang-froid.

Ce soir là, tu t'es habillée tout en noir mais tu ne peux cacher ton petit ventre un peu rebondi. Tu quittes la maison dans un silence total alors que Matéo dort profondément. Que tu crois. Il avait des doutes. Il s'est renseigné toute la journée. A croisé des informations qu'il avait. Il a comprit sans te le dire. Il te suit dans la nuit noire mais tu finis par le capter. Tu te retournes prête à te défendre avant de le voir. - Je sais ce que tu vas faire Artémis. Tu arques un sourcil, essayant l'innocence. - De quoi tu parles ? tu lui demandes. - Arrête. Pas de ça avec moi. Ca fait un moment que je soupçonne des trucs sur ton père et sur toi. Dis moi que j'ai faux Artémis. Dis moi que tu ne vas pas cambrioler le Joyaux de Cléopâtre qui est exposé au musée en ce moment ? Tu pâlis. - Matéo je ... c'est compliqué ... je ... Il te coupe. - Est ce que tu m'aimes ? Tu fronces les sourcils, surprise par sa question. - Bien sûr ! Pourquoi tu me demandes ça ? Il penche la tête. - Alors je n'étais pas qu'une couverture pour atteindre le précieux bijou que possède ma famille depuis des générations ? Il est impitoyable et tu te sens comme une biche prise entre deux feux. - Au début oui mais après je te jure que non. Je suis tombée amoureuse de toi Matéo et je ... Il secoue la tête. - C'est bien ce que je pensais. Il tourne les talons. Tu essayes de le retenir. - Matéo je t'en prie ! Je t'aime ! Tu sais que je t'aime ! Je n'ai jamais voulu ... Il se détache de toi. - Laisse tomber Artémis. Tu secoues la tête au bord des larmes. - Non ! Tout ce que je fais, je le fais pour mon père. Je sais qu'il est en mauvaise posture, sinon il ne m'aurait jamais demandé de l'aider. Il faut que je le fasses. Il faut que je l'aide. Dénonce moi si tu veux mais il faut que je l'aide à s'en sortir. Et ça ne diminue en rien l'amour que j'ai pour toi. Il te regarde avec regret. Avec douleur. Avec amour. J't'en prie ... je t'en supplie ... Matéo ... Il secoue la tête. - C'est notre bébé que tu mets en danger Artémis et pas seulement toi. J'peux pas l'accepter ... Tu poses une main sur sa joue. - Je te promets que je ne ferais rien qui nous mettrait en danger tous les deux. Je ne fais que l'assurer. Je te le jure mi amor. Crois moi. Fais moi confiance ... Tu le supplie. Il hésite. Tout ça est contre ses valeurs, sa nature profonde. Mais il t'aime. Comme un fou. Pour toi il ferait n'importe quoi. Alors il t'embrasse et pose son front contre le tient. - Sois prudente. Et reviens moi Artémis. Tu te laisses aller contre lui. - Toujours. Et après un dernier baiser tu disparais dans la nuit.

- Bon allez dis moi la vérité. Pourquoi ? Qui ? Et quand ? Il grimace. Et te raconte tout. Il a voulu escroquer les mauvaises personnes et ça s'est retourné contre lui. Ils t'ont menacés. Et ils ont menacé Matéo. Et sa nouvelle compagne. Bref tout ceux à qui il tient pour récupérer leur argent. Il leur a promit le Joyau de Cléopâtre en compensation. - Tu ne changeras jamais, tu maugréés en te tournant pour regarder les plans. C'est là qu'il le voit, il se fige. - Tu es enceinte ! te lance-t-il d'une voix blanche. - Quelle perspicacité p'pa. T'aurais du faire flic, tu railles. Il te fixe, horrifié. - Pourquoi tu ne me l'a pas dis ? Je ne t'aurais jamais impliqué là dedans si j'avais su ! Tu le fixes agacée. - Parce que je n'ai pas eu le temps de te le dire que tu m'a supplié de faire ce coup avec toi ! Sans parler du fait que Matéo a tout compris ! Je te préviens papa. C'est le dernier coup et après, tu nous oublies ma famille et moi. Mon bébé ne deviendra jamais comme toi. Je ne ferais jamais de lui ce que tu as fait de moi ! Tu es dure. Tu sais que tes mots font mal. Mais tu n'arrives pas à les retenir, d'un ton acide. C'est la première fois que tu lui reproches de t'avoir entraîné là-dedans, de t'avoir appris tout ça. - Je suis désolé. J'ai fais de mon mieux Artémis. Tu détournes le regard. - Et bien dans ta prochaine vie, essaye d'apprendre à ton gamin à lire plutôt que de lui apprendre à crocheter les serrures. Tu ignores totalement sa nouvelle compagne. Tu ne peux pas la piffrer de toute manière. Une vraie garce. Elle te fait des remarques acerbes et s'énerve quand tu l'ignores superbement. Pétasse va. Si elle savait qu'elle n'était qu'une remplaçante, une pâle copie de ta mère et toi. Elle se prend pour la reine du monde alors que tu sais qu'elle n'est rien. Et tu sais qu'elle en est parfaitement consciente. Vous lancez l'opération.

L'alarme retenti. Bruyante. Stridente. Annonçant une très mauvaise nouvelle. Tu échanges un regard horrifié avec ton père. - Vas t-en ! souffles t-il. - Quoi ? Mais papà ... tu commences. - Vas t-en Artémis ! Change de nom. Change de pays. De vie. Prends Matéo, ton bébé et dégage ! Je me démerderais. Tu hésites. Je suis désolé pour tout. Je t'aime ma fille. N'en doute jamais. Tu sens les larmes te monter aux yeux. - Je t'aime aussi papà. Il te montre la sortie qu'il reste. Celle par le toit. Il est prit au piège par les barreaux. Pas toi - Allez vas t-en. Profite de la vie. Dégage ! ordonne t-il. Et tu t'en vas. Tu échanges un dernier regard avec lui puis tu t'envoles et disparais. Tu traîne longtemps dans la rue, en larmes. Tu envoie un rapide sms à Matéo pour qu'il ne s'inquiète pas. Tu te réfugies dans un café ouvert aux premières lueurs de l'aube. Aux informations, les journalistes excités révèle la grosse prise de cette nuit. L'un des plus grands cambrioleurs au monde enfin sous les barreaux. Tu pleures encore. Tu finis par rentrer chez toi. Il faut que Matéo et toi disparaissiez. Mais quand tu arrives chez toi, la porte est entrouverte. - Mat ? Matéo tu es là ? Prépare tes bagages il faut qu'on parte chéri ! tu l'appelles. Il y a du désordre partout, la maison a été retournée. Tu cherches ton mari partout et tu finis par le retrouver. Assis dans son fauteuil de bureau, attaché, ensanglanté, visiblement torturé, un poignard fiché dans le coeur. Tu hurles. Tu pleures. Tu files vomir. Puis tu essayes de le ranimer. Tu l'appelles encore et encore, en vain. Tu le secoues. Mais rien. Tu entends les sirènes de police. Un des voisins à du les appeler. Les mains couvertes de sang, tes vêtements aussi d'ailleurs, tu attrapes quelques affaires en vitesse, ta moto et tu dégages. Une fois suffisamment loin, tu appelles un de tes amis, un hacker de première ligne, pour qu'il t'héberge.

- Gracias por todos Taz, tu fais à ton ami qui te serres dans ses bras. - De nada. Prends soin de toi et de ton bout de chou, querida. Envoie des nouvelles de temps en temps. Tu souris et hoches la tête avant de passer les contrôles de police et de douane. Les papiers que t'as fais Taz sont parfaits et tu passes sans soucis. Personne ne soupçonnerait une femme enceinte. Tu pars pour le Brésil. Loin de l'Espagne. Loin de toute cette merde. Tu recommences ailleurs. Autre part. Nouvelle identité. Nouvelle vie. Adios l'Espagne. Hola le Brésil.

"Ils t'ont retrouvés. Vas t-en. A." Pas d'autre explication mais ça te suffit. Ils t'ont retrouvés mais tu ignores encore comment. Et tu ignores comment ton père a pu le savoir et t'écrire. Et encore une fois tu changes tout. Pourtant tu étais bien au Brésil. C'est là qu'est née ta petite Zaé. Tu trouves qu'elle ressemble à son père. Elle a ses yeux en tout cas. Ca te fais bien souffrir. Elle gazouille dans son cosy alors que tu prépares vos affaires. Encore une nouvelle identité. Un nouveau pays. Un nouveau boulot. Tu pars pour le Canada, au moins personne ne viendra te chercher là-bas. Taz t'as encore aidé même à l'autre bout du monde. Et encore une fois tu disparais de la circulation.

Zaé fête ses huit mois. Cela fait quelques mois que vous êtes à Vancouver toutes les deux. Tu as réalisé ton rêve et ouvert un salon de thé/librairie/pâtisserie que tu as appelé Le Hibou qui Lit, en souvenir d'une histoire que te lisais ton père quand tu étais petite. Tout va bien. Pour le moment personne ne sait qui tu es vraiment. Tu commences à te détendre petit à petit, à croire que tu peux enfin tourner la page et élever tranquillement ta fille ici. Que personne ne viendra plus vous chercher. Tu créés même des liens ce qui ne t'arrivais jamais auparavant. La vie est belle. Mais l'expression "le calme avant la tempête" pourrait bien s'appliquer encore une fois ... Seule la vie te le dira ...

To be continued ...


■ Les Tocs & Manies.

Tu parles plusieurs langues : l'espagnol (ta langue natale), l'anglais, le français, le russe et l'arabe. Tu es douée en arts martiaux et en boxe, tu sais monter à cheval, nager très longtemps et faire de l'apnée un moment. Tu as tendance à parler en espagnol quand tu es agacée ou émue même quand tu essayes de t'arrêter pour ne pas te faire avoir. Tu es un peu parano, tu as tendance a regarder souvent derrière ton épaule et à éviter les flics. Tu aimes beaucoup lire et tu es très cultivée mais ce que tu préfères c'est faire de la pâtisserie et mélanger tes deux passions dans ton salon de thé. Tu adores ta fille, elle est ton rayon de soleil, ton miracle, ton ange, tu ferais n'importe quoi pour elle. Tu sais parler un peu le langage des signes et tu connais tous les codes silencieux de l'armée et de la police. Ca vous servait avec ton père. Parfois il te manque. Ce que vous aviez te manque. Mais t'as du mal à lui pardonner. Pour toi, c'est sa faute si Matéo est mort. Et ça tu n'arrives ni à l'oublier, ni à lui pardonner. Tu ne lui donnes pas de nouvelles. Tu ignores du coup qu'il s'est évadé et qu'il est à ta recherche. Tu as tendance à te mordre l'intérieur de la joue ou la lèvre inférieure lorsque tu es mal à l'aise ou concentrée. Tu as horreur de faire la lessive mais avec un bébé, t'as pas trop l'choix. T'es riche mais tu le caches bien. Surtout que ta fortune n'a pas franchement été acquise légalement. Tu prétends que le père de Zaé est décédé dans un accident de voiture. Tu te vois mal sortir aux gens "il s'est fait torturer, puis tuer par la mafia espagnole que mon cambrioleur de père avait escroqué". Ca l'fait pas vraiment. Et tu comptes pas dire la vérité à ta fille non plus. Pas si tu peux l'éviter. Parfois, tu es perfectionniste. T'a besoin que tout soit parfait, carré, en ordre. Comme pour éviter de te rappeler le bordel qu'étais ta vie d'avant. Tu adores les bonbons, tu as carrément une petite salle attenante qui fait confiserie, remplie de bonbons de tous les genres. Tu aimes chanter des chansons à ta fille et lui lire des histoires. Ton fruit préféré c'est la mangue mais tu adores la pêche aussi. Tu n'aimes plus le chocolat blanc maintenant, tu en a trop mangé durant ta grossesse maintenant ça t'écoeure un peu même si tu fais des pâtisseries avec. Tu n'as pas d'animaux, tu aimerais mais si tu dois encore t'enfuir, tu peux pas trimbaler un animal c'est trop flag. Peut-être un jour. Tu vis dans une jolie maison de banlieue avec ta fille. Tu aimes toujours autant le sport et des fois, tu prends le porte bébé, tu cales ta fille dans ton dos, un pique-nique, tes chaussures de marche et tu vas faire une randonnée avec elle. Tu adores la neige, c'est ton âme d'enfant qui parles. Tu n'es pas fan des thrillers policiers. On se demande pourquoi ... Tu ne veux pas retomber amoureuse. Jamais.   Tu as du mal à t'attacher et à faire confiance mais ça vient petit à petit. Tu changes régulièrement de coiffures et de couleurs de cheveux. Au cas où ...

◊ Derrière l'écran.

■ Prénom : Toujours le même  What a Face  ■ Pseudo : Aha vous voudriez savoir hein Syl •• Les adieux les plus difficiles sont ceux qui n'ont jamais été dits ou qui n'ont jamais été expliqués 3943615972 . ■ Âge : J'ai quelques jours de plus que la dernière fois  Syl •• Les adieux les plus difficiles sont ceux qui n'ont jamais été dits ou qui n'ont jamais été expliqués 4019494729 . ■ Pays : Bleu Blanc Rouge, Liberté, Egalité, Fraternité, ok on arrête les conneries xD ■ Double-Compte : Ben ouais ste question #SBAFF. ■ Comment as-tu connu le forum ? : Par mon Jiminy Criquet personnel Syl •• Les adieux les plus difficiles sont ceux qui n'ont jamais été dits ou qui n'ont jamais été expliqués 3100752261 . ■ Veux-tu avoir ton mini-flood ? : non. ■ Un dernier mot ? :  OUI J AI CRAQUE NO COMMENT Syl •• Les adieux les plus difficiles sont ceux qui n'ont jamais été dits ou qui n'ont jamais été expliqués 3895257041 Syl •• Les adieux les plus difficiles sont ceux qui n'ont jamais été dits ou qui n'ont jamais été expliqués 3385541607  Syl •• Les adieux les plus difficiles sont ceux qui n'ont jamais été dits ou qui n'ont jamais été expliqués 1915187399  Syl •• Les adieux les plus difficiles sont ceux qui n'ont jamais été dits ou qui n'ont jamais été expliqués 3943615972

Code:
<ai>jessica alba ■</ai> syl rosales.
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T'as pas de mental Rolling Eyes

REBIENVENUEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEEE
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Ca va toi chut Syl •• Les adieux les plus difficiles sont ceux qui n'ont jamais été dits ou qui n'ont jamais été expliqués 533189928

Merciii https://imgur.com/WY
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Rebienvenue I love you
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Merci Razz https://imgur.com/WY
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Haaaan Jessica Alba Syl •• Les adieux les plus difficiles sont ceux qui n'ont jamais été dits ou qui n'ont jamais été expliqués 735437058
Et une très belle histoire encore une fois et puis le nom lui va tellement bien Syl •• Les adieux les plus difficiles sont ceux qui n'ont jamais été dits ou qui n'ont jamais été expliqués 3041746423

Re-bienvenue avec toutes ces belles choses https://imgur.com/WY
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Merci mon p'tit chat d'amour Syl •• Les adieux les plus difficiles sont ceux qui n'ont jamais été dits ou qui n'ont jamais été expliqués 3255181339 réserve moi un lien Syl •• Les adieux les plus difficiles sont ceux qui n'ont jamais été dits ou qui n'ont jamais été expliqués 3943615972
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Avec plaisir choupinette, hésites pas à me spammer si tu as des idées https://imgur.com/WY
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My god, je suis trop fan de ton personnage Syl •• Les adieux les plus difficiles sont ceux qui n'ont jamais été dits ou qui n'ont jamais été expliqués 3255181339 L'histoire est juste génial et c'est super bien écrit Syl •• Les adieux les plus difficiles sont ceux qui n'ont jamais été dits ou qui n'ont jamais été expliqués 735437058
Tu as bien sûr validée ! Amuses toi bien avec ton nouveau personnage https://imgur.com/WY
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Je viendrais, je viendrais Char https://imgur.com/WY

Owwwwwww merciii ma Maxy Syl •• Les adieux les plus difficiles sont ceux qui n'ont jamais été dits ou qui n'ont jamais été expliqués 3255181339 t'es trop choupinette http://r13.imgfast.n https://imgur.com/WY
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