I'm gonna fuck yooouuuu... up +++ Gallavich

Ian&Mickey

I'm gonna fuck yooouuuu... up

C'est dans un grand claquement de porte que Mickey quitte la maison familiale des Milkovich. Couteau aiguisé dans la poche, arme à la ceinture et clope au bec, il traverse la rue et marche nonchalamment le long de celle-ci. Il ne doit tabasser personne aujourd'hui - enfin pour l'instant - alors il en profite pour subvenir à ses besoins personnels. À savoir, présentement, sa faim pressente. Rien à grailler dans la bicoque qui leur sert de toi, à lui et sa famille. Il choisit donc son terrain de chasse - enfin plutôt de vol car il est bien sûr hors de question qu'il déverse le moindre centime !

Le Kash&Grab est son lieu de vol préféré, niveau alimentaire. Le dirigeant est une telle "lopette" (selon ses propres termes) qu'il vole sous son nez sans même se cacher, sachant qu'il ne dira rien. En entrant, ce n'est pas le proprio qu'il voit derrière la caisse, mais son voisin.

"Gallagher" dit-il dans un sourire un peu narquois. "La fiotte qui te sert de patron n'est pas là aujourd'hui ?" Il aime bien faire chier son monde, c'est son petit rituel personnel. Il voit bien que ça irrite le garçon roux, mais ça l'amuse plus qu'autre chose. Sans discrétion, il fait ses emplettes : chips, bières, barres de chocolat ; et se dirige vers la sortie sans même l'intention de payer tout ça, la démarche assurée du mec qui se pense le roi du quartier.

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Ça fait deux jours que Kash me laisse ouvrir et fermer le magasin. J'en conclus que sa femme veut à tout prix avoir ce foutu bébé qu'elle veut tant et occupe ses journées à le violer. C'est bête, mais je plaint ce mec. Il n'a pas de couille. Aucune.Ça ne me dérangeait pas tant avant, mais depuis quelques jours, c'est devenu grave. J'ai envie d'un mec qui sait ce qu'il veut et qui se fait donner d'ordre de personne. J'suis entrain de lire une revue porno quand la porte s'ouvre rapidement. Je cache vite la revue sous la caisse et relève mon regard. Immédiatement, je me crispe. Mickey Milkovich. Serrant les dents, je dit alors «Pas cette fois, Mickey. Va t-en. C'est moi qui suis en charge aujourd'hui.» je sors derrière le comptoir et va vers la porte afin de lui bloquer le passage. D'un air provocateur, j'ajoute «Remet tout à sa place, Mick. Je déconne pas.»  puis serre un peu les poings afin de lui démontrer à quel point je suis sérieux dans mes menaces.  Son odeur corporelle est imbibé d'alcool, de cigarette et un peu de sueur, mais je m'en fou ...Je ne sais pas pourquoi, mais mon coeur accélère à chaque fois que je le vois. Propre ou pas, je le baiserais dans le frigo s'il me le permettait.

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Comme si j'allais l'écouter, le petit rouquin ! Hors de question. Personne ne me donne d'ordre, encore moins un voisin qui n'a même pas mon âge. Certes, la carrure n'est pas la même, mais je saurais lui défoncer la tronche s'il veut vraiment m'empêcher de sortir avec mes articles. Je ricane à ses propos et le pousse de ma main valide.

"Fais pas l'con Gallagher, t'as pas envie de jouer à ça. Tu vas faire quoi, les gros yeux ? Fuck, j'ai peur !" Je le pousse encore plus mais il résiste, ce salaud ! Je n'aime pas qu'on me fasse chier quand j'ai décidé quelque chose, alors pour sûr, il va se prendre un pain dans son joli minois s'il continue d'agir comme un débile. Il n'a pas compris ? Je suis le dominant dans l'histoire, il doit juste m'obéir et c'est tout.

"P'tain dégage merde !" Je ne veux pas lâcher mes articles mais j'ai le poing serré et le regard froid, comme lorsque je vais balancer les prunes. Et il le sait, j'en suis sûr. Je suis de nature violente, tout le monde le sait. Il me faut un rien pour distribuer des beignes... Il a de la chance que je me retienne là !

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Il me pousse mais je bronche à peine. Avant j'avais peur, mais plu maintenant. Tout ce qu'il vole part de ma paye et je n'ai pas les moyens de perdre encore plus d'argent! J'en ai marre! Il me provoque en parole, et je vois bien qu'il est sur le point de péter un câble ...mais moi aussi. Je reprend vite ses choses et les déposes sur le comptoir avant de le pousser vers la sortie «J'ai dit; pas cette fois, Mickey!» Je m'en fou si je me ramasse un pain ou un baigne ou un poing ou un coup de pied au visage. J'en ai marre de me plier à son petit jeu! Je ne suis pas Kash. Je ne lui laisserai pas cette chance de partir comme un voleur comme ça, sans payer! À deux pouces de son visage je dis «Tu payes, ou tu parts! Tu décides!» en lui faisant un regard menaçant. Je le repousse encore, mais cette fois-ci contre la porte. Son corps est en sandwich entre le mien et la sortie. Je peux sentir son souffle devenant plus rapide frôler mon cou et ma mâchoire. Il est peut-être de nature violente, mais j'suis un Gallagher. Moi aussi, je peux me montrer violent quand je veux!

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C'est la première fois qu'il me fait ce petit jeu là et mine de rien, ça fait plaisir d'avoir enfin un adversaire en face de moi. La plupart pissent dans leur froc dès que j'entre chez eux, alors voir le petit Gallagher sortir les poings et hausser la voix me met en joie. Il va pouvoir y avoir de la baston, super ! Je n'attends que ça. Il me provoque et me pousse jusqu'à la sortie, contre la porte. Oh non mon petit, t'aurais pas dû faire ça !

"Tu vas le regretter, Gallagher." Je lui fous un coup de boule à la tête, le temps qu'il soit repoussé et titube un peu. Bah oui, j'ai la tête dure, je suis un Milkovich ! Mais cela ne clôt pas le débat. Si je m'en tiens à ce que je connais de Franck, le père dégénéré des Gallagher, ils sont aussi du genre complètement tordus, à se battre pour un rien. Mais qu'il se relève donc, le petit chiot qui cherche à s'émanciper ! Je lui fous un poing au visage pour le repousser encore une fois - il était trop près - et retourne chercher mes affaires sur le comptoir. Eh, moi aussi j'ai besoin de lait hein ! Ce n'est pas parce que j'ai 20 ans révolus que je ne peux pas en boire. Comme s'il allait faire la loi ici...

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Alors ça, j'aurais dû m'y en attendre! Ce coup de boule me fait perdre l'équilibre et je titube en m'éloignant de lui. Mains tenant ma tête. Énervé, je lance alors un «Fuck!» mais au même moment, je reçois un poing au visage qui me fait instantanément cracher du sang sur le stand de bonbons. Là, s'il me cherchait vraiment, il vient de me trouver! Alors qu'il est entrain de reprendre tranquillement ses affaires, je le prend et le tire par son capuchon avant de le plaquer au comptoir. Mes doigts viennent se serrer sur son poignet et je lui met un coup direct sur la mâchoire en criant «C'est ça que tu veux, Milkovich!? UH!?» pour ensuite lui donner un coup au ventre en le suivant au sol lorsqu'il flanche et s'étale sur les dalles du dépanneurs. Malgré tout, je ne le lâche pas une seconde et lui refout un coup de poing au visage.
Ma respiration est rapide et j'ai le regard furieux ...mais une lueur dans mes yeux s'illumine quand je le regarde à nouveau. Mes jambes autour de ses hanches. Le corps penché sur lui. Je le tiens comme un toutou en laisse par le collet. Je pourrais faire tout ce que je veux avec lui, comme ça ...

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Je suis en train de me faire démolir la tronche mais c'est loin de me faire mal. Depuis le temps que je me prends des beignes de la part de mon père, j'ai appris à endurer la souffrance et la douleur comme un homme, un vrai ! Ce ne sont pas les petits poings de Gallagher qui vont me faire crier au supplice !

On fout le bordel en se battant, faisant tomber pas mal de produits de leurs étalages sans même y faire attention. Nous voilà finalement dans une position qui ne me plaît pas du tout, car elle fait très homo sur les bords ! Tout sauf ça. Sur moi, il me regarde avec fureur et je lui rends son regard.

"Bah vas-y Gallagher. Montre de quoi tu es capable, petite tapette ! Allez, vas-y, défonce-moi ! Je t'attends ! Ou alors t'en es pas capable, petit merdeux ?" Je le provoque, je n'y peux rien. L'adrénaline m'affole et j'ai le cœur palpitant. J'ai les muscles tendus, prêt à bondir et à échanger nos places pour reprendre le dessus, même si je n'ai pas l'impression d'être dominé pour autant. Je peux toujours lui mordre la main pour qu'il me lâche, lui foutre un coup de genoux dans ses petites boules de gentil garçon !

"T'as pas le cran hein..."

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Il me cherche encore en parole, mais le fait qu'il prenne si bien mes coups m'allume un peu. Je le prend par le collet à nouveau et le plaque au sol. Dents serrées. Seulement, je n'ai pas envie de continuer à péter mes jointures sur son joli minois. Je me relève donc rapidement et va verrouiller la porte. Je regarde par le fenêtre voir si quelqu'un arrive, et tourne la pancarte pour dire que nous sommes fermée. Je me retourne ensuite vers lui et le regarde. Un air de défi au visage. Même si je lui demandais de se relever, il ne le ferait pas pour l'instant. Je le sais. C'est le genre de type qui a horreur de recevoir des ordres. Je m'avance donc vers lui et le relève à nouveau par le collet avant de le lâcher et maintenir mon regard centré dans le siens. S'il ne capte pas que j'ai envie de lui faire sa fête, il doit être con ou je n'sais quoi! C'est évident!

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Il ne répond pas et ça me surprend. Il prend sur lui d'une telle manière que ça a un petit côté... Non non, je ne pense pas à ça. Puis, brusquement, il me lâche et va fermer la porte à clé. Je le regarde faire et un minuscule sourire de défi passe sur mon visage. Ok, je capte le message. Je peux même sentir ses hormones et sa testostérone me foutre une baffe en plein visage. C'est trop canon, enfin ça m'excite quoi.

Mais c'est un mec, et cette petite voix dans ma tête agit comme une alarme. Fais gaffe Mick, tu t'apprêtes à faire ce que tu t'interdis d'être depuis des années ! Ce contre quoi tu te bats. Pourquoi céder maintenant ? Qu'est-ce qu'il a, ce Gallagher hein ? Bah ouai, en fait, il est bandant. Énervé, excité, avec cette aura incroyablement érotique.

C'est à mon tour de le prendre par le collet et colle sa bouche à la mienne, un échange de salive et de sang plutôt agréable. Sa petite bouche de suceuse s'agite contre la mienne et je lui tire les cheveux de la nuque, par pure provocation. Je l'invite, en infiltrant ma langue dans sa bouche, à nous trouver un coin tranquille et non visible par ces foutues caméras de sécurité.

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Il fini par me tirer vers lui et m'embrasser. Je me délecte de ses lèvres, si bien qu'une main vient se déposer sur sa nuque et l'autre sur son p'tit cul bien rebondit et ferme. Je le sens tirer mes cheveux et un rire pervers sort de ma bouche en le regardant. J'adore. Je sais exactement où aller alors je l’entraîne dans le frigo. Une fois à l'abri des caméras, j'enlève mon tshirt et lui enlève le sien en le collant contre l'étagère de Budweiser. De là commence le début d'une grande et longue aventure qui vient de commencer. On baise ainsi pendant un bon 40 minutes avant qu'il termine en criant sa vie glorieusement. Fier, je remonte mes jeans en remontant ma fermeture éclaire puis remet mon tshirt. J'ai chaud, mais baiser ici c'est l'idéal. Ça garde tout de même notre corps au frais. De cette façon, on ne su pas comme des gros porcs après coup. Je le regarde en souriant en coin et dit «...Tu dois quand même payer pour tes articles...» avant de lui faire un clin d'oeil et sortir comme si de rien était ...Tout en jetant un regard de défi à la caméra. Ouais, Kash. T'as bien compris. J'ai fourré dans ton frigo. Fuck you.