un sentiment nommé désir, mais aussi amour (kalence - 5)

Tes caresses me troublent. Pour cette raison qui m'échappe cela créé un véritable ras de marrée au sein de mes entrailles. Je sens ta respiration vive se perdre contre mon cou. Tes paroles me chamboule, rendent mon organe vital tout aussi fou que le tien. Je resserre mon étreinte autour de ton cou, de ta taille. Je respire ton odeur : "c'est con oui, même si je n'ai rien à t'envier pour le coup." Je ris de façon fébrile contre ta peau. Cette sensation me fait un bien fou.

Tu me rassures par tes mouvements, j'en deviens fébrile. Un vrai chewing-gum au creux de tes bras. Ma main passe contre ton torse, près de ton coeur car j'ai envie de le sentir battre aussi fort que le mien. "En effet..." Je ris. "J'ai envie que tu me fasses l'amour. Vivement ce midi et ce soir."

Tes caresses sur mon torse provoquent une douce chaleur au sein de sa poitrine. Je te laisse observer l'effet que tout cela engendre en moi. Ma fierté a du mal à accepter sa faiblesse à cet instant, mais c'est toi, alors ça semble supportable. "moi aussi, j'en ai très envie. Encore plus depuis que tu m'as frustré comme ça." Je lâche un rire fin, j'essaye de détendre l'atmosphère avec une plaisanterie. "Tu te sens mieux ?" Je questionne, car ta fébrilité est la raison principale de ma venue. Juste un besoin maladif de te rassurer.

Je sais que je ne devrais pas mettre ce sentiment autant en évidence, mais c'est si bon de remarquer que l'amour est réciproque. Je ris à ta blague. "Tu seras récompensé..." Je te souffle sensuellement à l'oreille. "Oui. Beaucoup mieux. Et toi ?" Je te demande en venant déboutonner deux boutons de ta chemise pour caresser un bout de ton torse. Mes lèvres viennent s'accaparer des siennes.

Je souris à tes propos. Ils m'envoutent, car ils créent une douce fournaise au creux de mon corps. Les promesses d'un instant sensuel, avec toi, ne peuvent que me faire un tel effet. "Je l'espère bien." Je te taquine en riant doucement. "Pareil. C'est plus simple, quand c'est avec toi." J'accepte plus facilement ce trouble que tu accentue par ton action et ton baiser. Je n'y résiste pas. J'y réponds avec la même sensualité, joue avec ta langue. J'avoue que ça m'excite légèrement tant ce baiser me procure une sensation intense; Seulement, je ne cherche pas à te caresser, conscient que c'est ton lieu de travail et si je me laisse aller, je sais que je vais vouloir plus, en gourmand que je suis.

Je sens que je te trouble. La bête est calmée, tu réponds de manière mécanique. Tu n'es plus trop capable de rétorquer quoi que ce soit. "Même pas curieux de savoir tout ce que je vais te faire ?" Je mordille ton oreille. Trop besoin de te toucher de partout. "Oui. Finalement pas de quoi stresser" on est toujours aussi complices. Et nos bouches se dévorent sans relâche. Et ma main frôle ton torse encore.

"Si mais je doute de pouvoir rester sage si je t'entends me dire tout ce que tu comptes faire." J'avoue dans une voix tout aussi chaude que la tienne. Tu me fais un effet dingue. Cela devient dangereux. D'autant plus lorsque tu t'embarres de ma bouche et que j'y réponds sous la caresse de tes doigts. "Tu vas finir par m'exciter de nouveau." Je te préviens dans une voix chaude contre tes lèvres, car je sens le désir grimper en moi.

je te comprends, je n'ai pas très envie de rester sage à cet instant. Pourtant il le faut. Il suffit qu'un client rentre et je perds mon job. "Je te dirai tout ce midi." Je souffle avec amusement. "Et j'ai envie de sentir ton érection contre mes doigts... au plus profond de moi... Je m'excite moi-même." Je te souris. Le désir monte tellement. Je t'embrasse de nouveau.

Tu me chauffes incroyablement par tes mots. L'excitation monte, mais je me retiens de te toucher, car sinon, je vais avoir envie de te frôler intimement et ça serait une mauvaise idée. D'autant plus à la vue de tout le monde. "Sois sage alors." Je souffle entre deux étreintes passionnées de nos lèvres. "Bien que le programme m'excite cruellement. Je bande même un peu." Je t'avoue en venant porter un regard furtif vers mon intimité. Cela provoque mon rire. "Vivement midi."

Tu me demandes d'être sage. Difficile mais obligatoire. Je souris quand tu me dis bander, et je ne peux m'empêcher d'observer. Ton jean rebondit un peu. C'est horrible comme c'est tentant. "J'ai vraiment envie de te dévorer... t'enfouir au fond de ma bouche. Gosh." Ma main s'approche du petit rebond, caresse en superficialité juste pour être en contact.